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Communiqué de presse du groupe technique des opposants à Notre Dame des Landes - Notre-Dame-des-Landes, le 6 janvier 2015
Nantes Atlantique : qui franchit la ligne rouge ? Pas les pilotes en tout cas car la ligne rouge lumineuse qui interdit aux avions de pénétrer sur la piste est inopérante depuis des années à Nantes, pour des raisons d'économie sans doute...Mais on peut se demander si ce n'est pas le gestionnaire qui franchit la ligne rouge. En effet depuis hier au soir, une importante panne électrique concerne les infrastructures nécessaires à la sécurité des avions. Cela impose de dérouter sur les aéroports voisins un très grand nombre d'avions et leurs passagers. Tôt ce mardi matin, il en était toujours de même !
L'aéroport serait il à ce point hors d'âge ? Ou plutôt n'est-ce pas encore « le syndrome Notre-Dame-des-Landes » (on n'investit plus puisqu'on va partir) ? On voit bien l'intérêt qu'il pourrait y avoir pour certains à laisser cette installation se dégrader pour présenter notre aéroport comme « à bout de souffle » et justifier ainsi d'un transfert nécessaire vers Notre-Dame-des-Landes…
Des alertes ont pourtant été lancées depuis plusieurs mois au sujet du balisage électrique actuel : sa vétusté, le sous dimensionnement des équipes de travail et encore plus celles d'interventions en cas de panne, révèlent une bien curieuse gestion de l'outil aéroport de Nantes Atlantique. L'autorité administrative compétente est informée au plus haut niveau, mais laisse filer une situation pourtant connue de la CCI, ancien concessionnaire et du nouveau concessionnaire, AGO !
L'entretien de l'existant est négligé, les aménagements utiles ne sont plus réalisés, ni même anticipés pour les nombreuses années qui nous séparent d'un hypothétique premier coup de pioche à NDL. En revanche on ose parler de saturation, de vols refusés... (pour l'anecdote, l'absence de ligne rouge interdit de faire circuler plus d'un avion sur la plate forme en cas de brouillard, négligence curieuse quand on se soucie de saturation...).
Ce constat est alarmant: tout le monde laisse se dégrader cet aéroport sous prétexte que d'ici à 2017 les recours seraient purgés et les travaux démarrés à Notre-Dame-des-Landes...en oubliant simplement que les critiques de fond des opposants n'ont toujours pas trouvé de réponse et que la résistance n'est pas prête de s'arrêter.
Nous posons une question très clairement : le concessionnaire va-t-il encore laisser vieillir cet aéroport de manière à engranger toujours plus de bénéfices ? Est-ce une manière de trouver un nouvel argument pour le transfert ? Nantes-Atlantique a été reconnu par la profession comme meilleur aéroport européen avec un ERA Award en 2011-2012, ce serait un scandale de le laisser se dégrader sciemment !
Il y a décidément du travail pour les ateliers citoyens qui ont la ferme intention de démontrer qu'il est possible d'aménager sans grand frais ce bel aéroport qui satisfait tant de ligériens, attire toujours plus de compagnies, n’a pas besoin de subventions et a connu la plus forte croissance des aéroports français ces quinze dernières années.
Le groupe technique des opposants en lien avec le CéDpa, Collectif d’élu-e-s.
Après la décision du Gouvernement, mercredi 17 janvier, d’abandonner le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, nous tenons à remercier chaleureusement toutes celles et tous ceux qui ont participé à l’Atelier Citoyen, et ont étudié collectivement l’ « alternative crédible » du réaménagement de Nantes-Atlantique en apportant chacune et chacun le meilleur de leur compétence. MERCI !
Un grand merci aussi à toutes celles et tous ceux qui nous ont soutenu et ont largement diffusé nos travaux, militant·e·s, ami·e·s, citoyen·ne·s, associations, journalistes…
Merci, bien sûr, aux médiateurs et à leur rapporteur pour leur écoute et l’objectivité de leurs travaux qui ont été déterminants.
Loin d’être un recul, cette décision est bien une évolution majeure de notre société, une prise de conscience de la fragilité des ressources, des terres agricoles, de la biodiversité et de l’environnement. Il s’agit aussi, nous l’espérons, d’une prise de conscience des autorités qui devrait permettre d’améliorer la sincérité du débat public, l’écoute des citoyen·ne·s et l’étude des alternatives.
Nous tenons par ailleurs à dénoncer le dénouement qui se joue actuellement avec le groupe Vinci : après le scandale de la privatisation des autoroutes, générant un manque à gagner de plus d’un milliard d’euro chaque année pour l’Etat Français, il serait anormal que ce groupe tire un quelconque profit de l’échec de son projet aéroportuaire, au-delà du remboursement des études réalisées.
Le groupe Vinci est loin d’avoir respecté toutes les clauses de son contrat avec l’Etat et n’était pas en capacité de démarrer les travaux, même s’il y avait eu une évacuation de la zad. Le permis de construire n’était pas accordé, le projet était sous-dimensionné, les fondations prévues étaient irréalisables, tout comme la ferme solaire, etc. Par ailleurs l’aérogare existante dont Vinci avait la charge se saturait et se dégradait lentement sans que les travaux nécessaires ne soient réalisés.
L’annulation du contrat, ou sa déchéance au sens de l’article 82, serait donc légitime, au-delà de l’abandon du projet. Une négociation de gré à gré en mettant la cession de parts de l’Etat dans Aéroport de Paris (ADP) dans la balance ne serait pas dans l’intérêt des contribuables. Un nouvel appel d’offres doit avoir lieu, d’une part pour l’aéroport de Nantes-Atlantique incluant des exigences claires pour une remise à niveau rapide de cette excellente plateforme et le cas échéant pour les parts de l’Etat dans ADP.
De plus, si indemnités il devait y avoir, nous proposons que soit recherchée la responsabilité - y compris financière-, de tous ceux, politiques ou administratifs, qui ont négocié ce contrat, l’ont signé et sont responsables de ce fiasco.
Quoi qu’en disent certains, l’abandon du projet de Notre-Dame-des-Landes n’est pas la victoire d’une poignée de « voyous » mais bien une grande victoire populaire et citoyenne. La parole des citoyennes et des citoyens en sort renforcée pour construire ensemble un monde compatible avec l’équilibre de notre planète.
Contacts :
Site web : www.ateliercitoyen.org
Contact : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Twitter : @At_Citoyen
Facebook : www.facebook.com/AtelierCitoyen
L’atelier citoyen en bref :
Lancé en décembre 2014 et ouvert à tous, l'Atelier Citoyen travaille sur le réaménagement de l’aéroport de Nantes-Atlantique.
Association de dialogue, d'idées et d’expertises citoyennes. L’Atelier n’est pas une nouvelle association d'opposants à l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, mais bien un lieu de dialogue et de recherche des solutions alternatives pour sortir de ce problème pacifiquement.
L’atelier vise à conserver et optimiser l'aéroport actuel, en faisant appel aux connaissances, à l’intelligence collective et au bon sens de chacun. Il rassemble des experts et des citoyens soucieux de faire avancer ce sujet : utilisateurs, techniciens, pilotes, ingénieurs, architectes, sociologues, patrons, syndicalistes, riverains...
L’atelier comprend huit groupes de travail autour des thèmes suivants : l'aérogare, la piste, la circulation et les trajectoires aériennes, l'économie et les emplois, le plan d'exposition au bruit, les transports en commun, l'urbanisme et la finance.
Au-delà de cette question de l'aéroport nantais, il s’agit pour les participants de construire une société plus responsable, où chacun apporte ses compétences et son savoir-faire de manière complémentaire, en recherchant l’intérêt général.
L’atelier citoyen s’est réuni vendredi 6 mars pour une troisième réunion plénière.
Les travaux de l’atelier citoyen avancent plus vite que prévu, les groupes de travail Piste et Trajectoires aériennes ont déjà rendu leurs conclusions :
Les rapports complets de ces deux groupes de travail seront bientôt rendus publics. Dans ces deux études, il apparait clairement une obsolescence programmée de cet aéroport, ce au détriment de l’intérêt général et du développement économique nantais.
Le groupe Economie et emplois a interpellé des personnalités politiques candidates aux élections départementales sur leurs intentions en matière de protection des emplois existants sur la zone Nantes-Atlantique et sur les actions mises en œuvre pour conforter l'usine Airbus qui est le plus gros employeur du secteur. En attendant les réponses des candidats, le groupe a entendu des retraités de l’entreprise qui s’inquiètent du fait que le déménagement de l’aéroport permettrait un jour à Airbus de justifier une fermeture de l’usine de Nantes, l’essentiel de sa production pouvant maintenant être délocalisé dans un des nouveaux sites chinois ou indiens.
Le groupe Bruit termine également ses travaux. Ils seront présentés lors du prochain atelier le 3 avril prochain. A la lecture de différents Plans d’Exposition au Bruit (PEB), le groupe remarque que, selon la ville concernée, l’Etat minimise ou aggrave le nombre de personnes subissant les gènes sonores en communiquant sur telle ou telle zone de PEB, plus ou moins large.
Le groupe Transport en commun découvre aussi des sources d’économie importante : le coût du prolongement du tramway serait d’environ 30M€ et celui d’une réhabilitation de la voie ferrée existante, de quelques millions. L’aéroport existant a la chance de pouvoir choisir entre tramway et TER. Ces nouveaux transports profiteraient également aux employés de l’usine Airbus et de la zone D2A qui les demandent depuis des années.
L’atelier Aérogare a lancé son appel à idées coopératif international sur le site www.aeroport.xyz. Il invite architectes, urbanistes, paysagistes, artistes, étudiants, militants, plasticiens, politiciens et tous ceux qui pensent avec ingéniosité le recyclage et la rénovation urbaine, à proposer des moyens d’optimisation et de réaménagement de l’aéroport existant de Nantes-Atlantique pour accueillir 7 millions de passagers…
Enfin, l’atelier citoyen ouvre un nouveau groupe de travail Finance, car « au final c’est toujours la finance qui décide » et invite les bonnes volontés, experts économiques et comptables à travailler sur le plan financier du maintien de l’aéroport.
Le prochain point d’étape de l’atelier est prévu vendredi 3 avril, à 20h à l’ancienne Gare de l’Etat – 5 Place de la Gare de l’État 44200 Nantes.
Contacts :
Site web : www.ateliercitoyen.org
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Twitter : @At_Citoyen
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L’atelier citoyen en bref :
Lancé en décembre 2014 et ouvert à tous, l'Atelier Citoyen travaille sur le réaménagement de l’aéroport de Nantes-Atlantique.
Association de dialogue, d'idées et d’expertises citoyennes. L’Atelier n’est pas une nouvelle association d'opposants à l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, mais bien un lieu de dialogue et de recherche des solutions alternatives pour sortir de ce problème pacifiquement.
L’atelier vise à conserver et optimiser l'aéroport actuel, en faisant appel aux connaissances, à l’intelligence collective et au bon sens de chacun. Il rassemble des experts et des citoyens soucieux de faire avancer ce sujet : utilisateurs, techniciens, pilotes, ingénieurs, architectes, sociologues, patrons, syndicalistes, riverains...
L’atelier comprend huit groupes de travail autour des thèmes suivants : l'aérogare, la piste, la circulation et les trajectoires aériennes, l'économie et les emplois, le plan d'exposition au bruit, les transports en commun, l'urbanisme et la finance.
Au-delà de cette question de l'aéroport nantais, il s’agit pour les participants de construire une société plus responsable, où chacun apporte ses compétences et son savoir-faire de manière complémentaire, en recherchant l’intérêt général.
Association Citoyenne Intercommunale des Populations concernées par le projet d'Aéroport de Notre Dame des Landes Association luttant contre la création d'un autre aéroport à Nantes (Loire Atlantique), sur les communes de Notre Dame des Landes, Grandchamp des Fontaines, Vigneux de Bretagne et Treillières
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